Le travail d’Erwann Gauthier se caractérise par son évidente qualité graphique et chromatique, mais il témoigne avant tout de sa folle admiration pour le jazz, les musiciens, les artistes qui composent sa mythologie intérieure. C’est sa petite musique à lui qu’il nous propose généreusement à travers le flamboiement des couleurs et la stylisation des portraits d’Ella, Miles, Nina et les autres. La sècheresse du trait traduit l’épure d’une note, la brisure d’une voix. La simplicité des compositions traduit le rythme et l’exigence. Elle va à l’essentiel, suit la ligne d’horizon avec l’œil attentif du marin. Les portraits d’Erwann Gauthier sont un magnifique hommage à l’histoire du jazz, à la fois réjouissant et énigmatique, à fleur de peau et d’oreille.

De formation classique à l’origine (Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris), le musicien Manu Katché est promis à la noble carrière de percussionniste au sein d’un orchestre symphonique. Probablement est-ce là l’une des causes du « son Katché » qui fait que son coup de baguette est reconnu entre mille par les mélomanes avertis. Un coup de baguette qui va le détourner du classique pour le mener au jazz puis au pop-rock. Très vite, on le retrouve, musicien de scène et de studio, aux côtés des grands Français : Goldman, Souchon, Chedid, Catherine Lara, Michel Jonasz, mais il doit l’explosion de sa carrière à Peter Gabriel qui lui demande de tenir la batterie pour l’album So. Son nouveau projet The Scope explore la formule du quartet avec un compagnon de longue date à la basse : Jérôme Regard (qui a joué avec Michel Legrand, Jan Garbarek, Louis Winsberg…), le guitariste Patrick Manouguian (qui accompagne les grands noms du jazz : Dee Dee Bridgewater, Minino Garay, Didier Lockwood…) et le réalisateur de l’album et pianiste Elvin Galland.

DJ Harry Cover, dangereux collectionneur totalement accro aux reprises et autres covers depuis ­maintenant une dizaine d’années, se définit comme un « passeur de musique recyclée » et non pas comme un ­véritable DJ, trop sérieux et prétentieux à son goût ! Harry ­Cover vous propose de (re)découvrir les tubes d’hier et d’aujourd’hui dans des ­versions inédites et drôles !

Le travail d’Erwann Gauthier se caractérise par son évidente qualité graphique et chromatique, mais il témoigne avant tout de sa folle admiration pour le jazz, les musiciens, les artistes qui composent sa mythologie intérieure. C’est sa petite musique à lui qu’il nous propose généreusement à travers le flamboiement des couleurs et la stylisation des portraits d’Ella, Miles, Nina et les autres. La sècheresse du trait traduit l’épure d’une note, la brisure d’une voix. La simplicité des compositions traduit le rythme et l’exigence. Elle va à l’essentiel, suit la ligne d’horizon avec l’œil attentif du marin. Les portraits d’Erwann Gauthier sont un magnifique hommage à l’histoire du jazz, à la fois réjouissant et énigmatique, à fleur de peau et d’oreille.

Née à Madagascar en 1992, Elina Jones est une chanteuse autodidacte. Pendant toute son enfance, elle baigne dans la soul et, puise rapidement son influence chez des chanteuses de caractère telles que Beth Hart, Etta James, Janis Joplin et Tina Turner. Une fois diplômée, elle décide de se consacrer entièrement à sa passion : la musique. Le pari est plutôt réussi, sa voix chaleureuse, son dynamisme et sa générosité ne laissent pas le public indifférent. La chanteuse sera accompagnée de Fred Brousse, un talentueux bluesman qui a joué avec les plus grands de Chicago (BB King, Maurice John Vaughn, Zora Young). Au programme : soul, blues & groove sans modération !

Jeanette Berger fait partie de cette nouvelle vague d’artistes qui chante la soul de notre temps, empreinte de blues et de pop, irrésistiblement moderne. Repérée en 2015 avec son précédent opus How Many Times, elle se produit sur la scène de Cybèle pour la 36e édition de Jazz à Vienne. Elle présente au printemps 2018 son premier album In My Mind, et son répertoire sous un nouveau jour : un tête-à-tête à trois voix détonant et sensuel, souligné par le gospel de ses choristes Marine Poirier et Sandra Barranco.

Sa belle et longue carrière au service de son instrument, l’orgue Hammond, légitime, à elle seule, le fait de ne pas manquer celle que l’on surnomme « The Barefoot Lady ». Née aux Etats-Unis, elle se fait remarquer pour son talent musical et rentre dans la célèbre Manhattan School of Music de New York dont elle sort primée, avec mention spéciale du jury. Elle débute chez Count Basie, à Harlem, où elle est adoptée par tous les grands de la musique. Elle vient ensuite en France pour terminer ses études au Conservatoire avec Nadia Boulanger. Rhoda possède un talent complet, qui la rend aussi à l’aise dans la musique classique que dans le jazz, les gospels ou les blues. Grâce à son charisme, elle transporte son auditoire. Elle se donne au public avec tout son être, son cœur, son esprit, et elle entraîne une adhésion totale, presque mythique. Pour son concert à Jazz à Val Thorens, elle sera accompagnée par Nicolas Peslier à la guitare et Thomas Derouineau à la batterie.

Papatef présente Drums + Cut up improvisation, un concert unique mélant sélection musicale en tant que DJ et improvisations de batterie et voix de Cyril Atef, homme-orchestre d’un soir, plus connu pour les aventures congopunQ et Bumcello (avec Vincent Segal), mais aussi pour ses collaborations avec Gotan Project Official ou Matthieu Chedid – M.

Le travail d’Erwann Gauthier se caractérise par son évidente qualité graphique et chromatique, mais il témoigne avant tout de sa folle admiration pour le jazz, les musiciens, les artistes qui composent sa mythologie intérieure. C’est sa petite musique à lui qu’il nous propose généreusement à travers le flamboiement des couleurs et la stylisation des portraits d’Ella, Miles, Nina et les autres. La sècheresse du trait traduit l’épure d’une note, la brisure d’une voix. La simplicité des compositions traduit le rythme et l’exigence. Elle va à l’essentiel, suit la ligne d’horizon avec l’œil attentif du marin. Les portraits d’Erwann Gauthier sont un magnifique hommage à l’histoire du jazz, à la fois réjouissant et énigmatique, à fleur de peau et d’oreille.

Le « Obradović - Tixier Duo » est un projet original qui naît de la collaboration du pianiste français David Tixier et de la batteuse croate Lada Obradović. Un son nouveau forgé par la rencontre d’instruments acoustiques et de sons électroniques, de textes, de polyrythmes, d’intrigues et de loops mélangés aux différentes strates polyrythmiques entrelacées d’harmonies sophistiquées, sert de source première à la musique guidée par l’émotion et l’élégance. Le duo a remporté en juin dernier le tremplin national Rézzo FOCAL Jazz à Vienne.

Le duo Obradović Tixier propose au public une masterclass avec découverte du processus de création, échange sur leur parcours musical et leur découverte du jazz, échange sur l’utilisation de l’électronique dans le jazz...

Les notes de musique sont des sons, des fréquences qui font vibrer notre tympan et mettent en éveil notre sens de l’ouïe. Pour nourrir l’imaginaire, chaque texte propose des jeux autour du nom de la note, de la couleur qui lui est attribuée, de la lumière ou du caractère que les mélodies peuvent dégager. Une manière de se familiariser avec chacune des sept notes par l’utilisation d’autres sens. La douceur de la voix de Zacharie et la délicatesse de son jeu à la guitare apportent toute la tendresse et la légèreté que ces chansons veulent offrir.

Passionné œuvrant depuis dix ans sur la scène lyonnaise en tant que DJ résident dans différents clubs comme la Marquise, la Maison M, l’Absinthe... DJ Freakistan est ambianceur, pousseur de disques vinyles, arrosant les dancefloors les plus chauds par des sélections éclectiques alimentées par le groove et le beat. Ses soirées sont un mélange de soulful house et funk furieux, disco décomplexée et groove transatlantique, hip-hop old school et nu beat bouncy.

Le travail d’Erwann Gauthier se caractérise par son évidente qualité graphique et chromatique, mais il témoigne avant tout de sa folle admiration pour le jazz, les musiciens, les artistes qui composent sa mythologie intérieure. C’est sa petite musique à lui qu’il nous propose généreusement à travers le flamboiement des couleurs et la stylisation des portraits d’Ella, Miles, Nina et les autres. La sècheresse du trait traduit l’épure d’une note, la brisure d’une voix. La simplicité des compositions traduit le rythme et l’exigence. Elle va à l’essentiel, suit la ligne d’horizon avec l’œil attentif du marin. Les portraits d’Erwann Gauthier sont un magnifique hommage à l’histoire du jazz, à la fois réjouissant et énigmatique, à fleur de peau et d’oreille.

Le duo Miral transporte le public dans un tour du monde qui passe du créole séga des Îles Vanille à l’arabe d’un mystérieux Orient. Il est servi autant par les talents polyglottes de Climène que par le prodigieux sens de la polyrythmie de Baptiste. Dans ce world jazz assumé, le chant en français n’est pas en reste, ni l’influence flamenca d’un manouche magistral.

Toujours du nouveau, toujours différent, toujours du Tony pure soul. L’homme qui sait tout jouer... Pour toujours plus d’énergie, toujours plus de gospel dans la voix... sûrement encore un cran de plus vers le haut dans le génie !

Que reste-t-il, aujourd’hui, de l’enfant prodige que fut Biréli Lagrène ? Un merveilleux musicien, un magicien de la guitare parmi les plus éblouissants, un chorégraphe de la six-cordes. D’emblée, la musique fut son langage, et celle de Reinhardt son école. Destinée inévitable quand l’on naît, comme lui, en Alsace (en 1966), que l’on est issu de la grande famille manouche, et que la chance vous désigne comme un surdoué en la matière. Au-delà de la rigueur qui fut celle de son apprentissage de ce mélange inouï de force et de précision, Lagrène aura la grâce insigne de ne jamais négliger l’essentiel : « Django m’a aidé à aller voir ce qui se passe ailleurs », aime-t-il à rappeler. De cette formidable leçon de liberté, qu’il sut capter comme aucun autre, Biréli multiplie les expériences et les rencontres, avec tout ce que le monde du jazz compte de personnalités uniques et incontournables (Stéphane Grappelli, Larry Coryell, John McLaughlin, Joe Zawinul, Al Di Meola, Stanley Clarke, Miroslav Vitous, Lenny White, Dennis Chambers, Victor Bailey… ).

Le lyonnais Bruno « Patchworks » Hovart est un producteur hyperactif qui ne s’accroche ni à un style musical, ni à un alias. On le retrouve depuis plus de quinze ans sur différents labels de Lyon, Paris, Berlin, Detroit, Melbourne ou Londres. Il a dévoilé en 2015 Voilaaa, le collectif qui l’entoure pour des sets sound system furieux, afro, disco et moites, inspirés de l’esprit « Notting Hill ». Voilaaa Sound System mèle des DJs, des MCs, et du live FX comme cela se fait au Notting Hill Festival de Londres.

Le travail d’Erwann Gauthier se caractérise par son évidente qualité graphique et chromatique, mais il témoigne avant tout de sa folle admiration pour le jazz, les musiciens, les artistes qui composent sa mythologie intérieure. C’est sa petite musique à lui qu’il nous propose généreusement à travers le flamboiement des couleurs et la stylisation des portraits d’Ella, Miles, Nina et les autres. La sècheresse du trait traduit l’épure d’une note, la brisure d’une voix. La simplicité des compositions traduit le rythme et l’exigence. Elle va à l’essentiel, suit la ligne d’horizon avec l’œil attentif du marin. Les portraits d’Erwann Gauthier sont un magnifique hommage à l’histoire du jazz, à la fois réjouissant et énigmatique, à fleur de peau et d’oreille.

Né et élevé à Ipanema, soit un authentique « Carioca da gema » (nom donné aux personnes qui sont nés à Rio intra-muros), Jonathan Da Silva a grandi au sein d’une communauté peuplée d’ex-taulards et d’artistes convertis. Dans ce cadre, il fait ses premiers accords de guitare avant ses dix ans, sous le regard bienveillant de Wanda Sa (muse de la bossa-nova). C’est en France et à Lyon qu’il pose ses valises et ses instruments. Très actif sur la scène des musiques du monde, ce jeune trentenaire n’a plus grand chose à se prouver. Sa rencontre déterminante avec le producteur Bruno « Patchworks » Horvat l’emmène tout droit a ses premiers amours sonores : une Tropicalia décomplexé, où la fougue brésilienne flirte aisément avec la sophistication du jazz et la sensualité de la pop culture.

Une voix et une guitare basse. Mais pas seulement : sur ces deux fondations, Loop DeLuxe ajoute des artifices technologiques, brodant des volutes sonores en un ensemble étonnant et détonant. Mais pas seulement : avec cet assemblage de technique et leur envie de remodeler le son, Lisa et Christophe réinventent les musiques. Leurs compositions puisent dans l’éclectisme qu’ils ont cultivé chacun de leur côté puis ensemble. Vous aimez le jazz, la pop, la chanson française , le hip-hop, l’électro ? Loop DeLuxe aussi, au point de les rassembler dans de suaves mélanges qui séduiront les oreilles curieuses.